Les travailleurs sociaux du Refuge interviennent sur le plan socio-éducatif et co-construisent avec les jeunes un parcours d’insertion. Ils et elles permettent aux bénéficiaires de retrouver une autonomie personnelle et sociale, avec pour chacun et chacune un projet individualisé. En constante adaptation et mobilisation, les travailleurs sociaux de la Fondation accompagnent principalement les jeunes sur l’accès à un emploi ou à une formation, à l’ouverture des droits liés à la santé et à l’inscription sociale.
L’une des spécificités du Refuge est d’accompagner les jeunes LGBT+ jusqu’aux droits d’asile. Cette mission représente un investissement conséquent de la part des équipes et notamment des travailleurs sociaux. Ils et elles doivent mettre en place différents axes d’accompagnement : élaboration et suivi de la demande d’asile, apprentissage de la langue française, favorisation du vivre ensemble et de la tolérance, préparation aux entretiens à l’OFPRA, etc.
Au-delà de ces aspects, les travailleurs sociaux interviennent également sur la gestion de la vie quotidienne, la tenue des hébergements ainsi que sur la gestion d’éventuels tensions et/ou conflits générés par la cohabitation.
Les travailleurs sociaux de la Fondation font toujours preuve d’un accueil personnalisé à l’égard des jeunes accompagné·e·s. Ils et elles les rassurent et leur redonnent confiance pour les aider à se projeter vers une réinsertion sociale et un avenir professionnel réussi.
Pour coordonner ses propres actions et prendre le recul nécessaire face à des situations difficiles, les travailleurs sociaux travaillent en équipe. Ils et elles s’appuient sur les partenaires locaux afin d’accompagner au mieux les jeunes de la Fondation. Au sein du Refuge plusieurs instances sont dédiées à l’action des travailleurs sociaux : les réunions hebdomadaires du CoTis, les séminaires annuels (rassemblant l’ensemble du corps social de la Fondation) et les réunions d’équipe au sein des dispositifs. Objectifs : échanger entre professionnels du social et harmoniser les pratiques.
Merci à elles et à eux !